Si le plaignant gagne, l’État est forcé de rembourser la totalité ou une partie des frais d’avocats du plaignant. Cet argent revient à Peperoncini qui finance avec de nouveaux procès ou des frais courants sans lesquels nous ne pouvons subsister. Si le plaignant perd, cet argent aura été un don pour l’accès d’une personne ou une famille à l’état de droit et à la défense en justice.